« Tu jugeras ton compagnon avec justice.Tu ne répandras pas de calomnies contre ton compatriote.Tu ne réclameras pas la peine de mort contre ton prochain.Je suis le Seigneur. » (Lévitique 19,15-16)
-J’écris ou j’apprends ce verset.
-Je me répète ce verset plusieurs fois dans la journée et j’écoute ce que peut me dire le Seigneur dans cette parole.
-Je peux mettre en pratique ce verset, comme il me semble bon de le faire.
-Je remplis la bulle.
-Je peux partager mon expérience (ou comment j’ai essayé de mettre cette parole en pratique et le bienfait que j’en ai reçu)).
Aide pour comprendre ce verset :
Le livre du lévitique est le 3ème livre de la Bible. Il a un caractère presque entièrement législatif. Il y a un rituel des sacrifices, un cérémonial d’installation des prêtres, des règles sur le pur et l’impur… Il se finit par des bénédictions et malédictions.
bulle : Seigneur, c’est le moment de lui rappeler tes commandements !
VECU : combien de fois au bureau je retiens un scud ? oui un missile terre/terre pour fusiller mon collègue devant tous les chefs !
J’aime bien ce dessin ! il me fait vraiment penser à ma pauvreté.
bulle: Arrête, tu vas te faire du mal !
Commentaire: c’est le temps du carnaval: attention à ne pas prendre goût à jouer les méchants !
j’aimerai que le lapin saute dans l’autre sens… comme lorsque l’on veut étreindre un enfant dévoré par sa colère.
bulle: Wahoo Seigneur, Tu m’as dit de retirer la poutre qui est dans mon oeil, j’ai encore du boulot, mais si le fusil, dans l’oeil de mon voisin me tire dessus, je vais pas avoir trop de temps
pour me laisser guérir par toi… 😉
BULLE : Hééé ! C’est pas dans la Bible, ça ! Miséricorde ! Attends que je retrouve le verset !
VÉCU : Un confesseur m’a un jour demandé, comme pénitence, de ne plus juger autrui. C’est terriblement difficile de prendre son prochain comme meilleur que soi par défaut. Ça m’a appris à essayer
de toujours trouver une raison d’admirer les gens qui m’entourent. C’est un exercice que je fais parfois. Je regarde les gens autour de moi, dans le bus, dans la rue, et je cherche pour chacun une
raison de les aimer. Un beau visage, une attitude respectueuse, une petite chose qui montre une qualité… Je ne le fais pas assez souvent, à chaque fois j’en sors remplie de paix.