Plus prèèèès de toooâââââ, mon Dieuuuuu…
1ère Lecture : Exode 32,7-11
Psaume 50
2ème Lecture : 1 Timothée 1,12-17
Evangile : Luc 15, 1-32
Pour aller plus loin
Détails
-Image rigolote. Ceux qui la trouvent blasphématoire ou de mauvais goût, lisez la suite pour comprendre…
-L’Evangile raconte l’histoire de la brebis (la brebis, c’est moi, toi…) qui s’égare, et de Jésus qui se déplace lui-même pour aller la chercher. Le verset dessiné ici, c’est la suite de l’histoire.
-Si le lapin représente Jésus et la brebis me représente, moi, Jésus pourrait-il me mener droit au précipice ? La réponse est dans les couleurs.
-Le berger me mène aux verts pâturages au Ciel. Il marche sur le vert en direction du bleu. Pour moi, le bleu fait peur parce qu’il n’y a plus de chemin palpable (il suffit de regarder l’expression du mouton). Pour Jésus, il sait où il va. Alors n’entendons pas la tonte (le dépouillement) comme quelque chose de négatif…
Questions
-Sur ce dessin, on constate aussi que les 4 pattes du mouton sont en forme de 4 cœurs. On constate aussi que les gouttes de sueur (ou d’effroi) du mouton sont aussi au nombre de 4.
-L’interprétation signifie que quand nous nous éloignons de Dieu, Il vient nous chercher sur nos chemins de traverse et nous prend tout entier, avec nos angoisses et notre bonté.
-Certains pensent, à tort, que pour que Dieu s’intéresse à eux, il faudrait d’abord faire toute les bêtises possibles, et ça le ferait se déplacer. Si je « ne sens » rien, ça ne veut pas dire que Dieu est absent pour autant. Peut-être suis-je déjà sur ses épaules ? Est-ce que j’appelle au téléphone la personne que j’aime à chaque fois que je pense à elle/lui pour le lui dire ? La nuit, c’est pas top.
On peut penser à quelqu’un sans l’appeler.
Alors là je ne comprends pas , mon commentaire de début d’après-midi n’est pas apparu…Alors que ne le voyant pas je le doublais, on m’a signalé qu’il était déjà enregistré et ferait doublon…
Et parfois lorsque je n’envois mon commentaire qu’une fois, il apparaît deux fois ?
Bon je ne suis pas très douée mais là…je ne comprends plus ?
Je n’ai jamais rencontré ce type de problème, alors Béa je ne peux vous renseigner.
Mais si vous en avez la possibilité faites un nouvel essai. Tant pis si votre commentaire arrive en deux exemplaires. Cela ne dérange personne.
Et courage si vous devez réécrire votre texte !
Merci Marie-Ange, je remets donc mon ouvrage…Je ne sais pas si l’inspiration va être aussi belle car je m’étais sentie portée (comme le mouton? )
Je me suis sentie touchée par une observation car plus jeune j’ai provoqué Dieu, je l’ai presque harcelé, en mode défi et chantage du « si Tu existes… », du » Tu n’existes même pas, la preuve c’est… » Je n’avais même pas réalisé que dans ce doute j’étais encore connectée…plus que jamais , que je ne lui avais jamais autant parlé et pas dans le vide , avec tout au fond une certitude étrange et contradictoire et oui Il m’a rattrapé…
Au début je ne l’ai même pas ni remercié , ni loué, ni reconnu, j’ai parlé de Hasard, st hasard, et puis le hasard avait vraiment l’air trop précis, trop adapté, trop sur mesure, trop là où il fallait , non pas à mes ordres, parfois à côté ou à l’opposé mais terriblement Présent qu’un jour j’y ai vu le Visage tant refusé…
Car tant que j’exigeais ce visage mon regard n’étais pas tourné du bon côté…C’est une question de regard !!!
Il faut le rééduquer !
Le mouton ne regarde que vers le précipice paniqué , il ne sent plus les mains qui s’agrippe à ses pattes, l’odeur de celui qui le porte, le souffle de ses efforts, le contact de ses épaules fourbues, non il ne regarde que vers sa peur…Il a perdu le regard de son porteur sur lui-même car il est tourné vers lui–même et ses angoisses…
Pour ressentir Dieu, il faut accueillir, accueillir la création, les êtres qu’il met sur notre route, les petits coups de pouce et il faut savourer comme un carburant mis à nos pieds pour la longue traversée tout les beaux moments, les belles personnes, les preuves d’amour à stocker comme un trésor où puiser dans les moins bons jours….
Cet été je retournais dans une maison familiale et j’avais mal de l’absence paternelle qui était partout autour de moi, je ne pensais pas qu’elle resurgirait comme ça, je pensais qu’avec les années le deuil allait linéairement s’estomper s’adoucir, mais là boomerang…
Et j’appelais dans le silence une présence magique, un signe, un peu de pommade …
Le jardin en friche qu’il fallait débroussailler me vidait un peu la tête mais pas assez…
Et puis au moment de repartir pour une année dans mon quotidien, voila que , à ma porte (au propre comme au figuré) le rosier qu’on appelait la ronce stérile que papa avait planté, que mon frère venait de me dire , il faudrait l’arracher, il n’a jamais rien donné et en plus il est grimpant et là il ne fait que tomber, s’est redressé…
Et voilà que une, deux, puis dix, vingt…48 boutons et déjà 12 d’ouverts quand je suis partie…
Une apothéose, un feu d’artifice….
J’ai accueilli…
Comme un sourire offert sur le pallier devant l’entrée, je ne vous l’avais pas dit ? Mon père avait ce qu’on appelle les pouces verts …Un truc dans les mains qui fait rejaillir la moindre plante crevée… Moi c’était plutôt le contraire j’ai toujours tout laissé séché ou trop arrosé… Parfois j’envoyais une de mes plantes en stage chez lui pour la retaper..
Hasard…. sans doute que je me suis améliorée en jardinage direz- vous ?
Moi j’ai un autre regard et j’ai accueilli la joie du rosier refleuri 🙂
J’ai juste murmuré « Merci…. »
Ce dessin me rappelle la page 47 de la BD « Galilée, une affaire qui tourne » : il nous montre Jésus étreignant tendrement Dolly, la brebis perdue et retrouvée, qui s’abandonne tout contre son cœur.
Pour illustrer le texte de saint Luc, que nous lirons dimanche, Coolus nous montre la « même » brebis chargée sur les épaules du Seigneur qui, tout heureux, la ramène à la maison.
J’aime ces deux dessins qui expriment, à mes yeux, toute la Miséricorde Divine…
Mon commentaire n’a rien à voir avec le dessin de la semaine (moutonneux). C’est plutôt le gros titre justement accusateur du site qui m’interpelle, car je suis souvent incapable de dire quel a
été l’Evangile du dimanche qui devrait nous accompagner pendant toute la semaine. Promis ! En commençant avec celui d’hier, je vais le lire et le relire tous les jours, en essayant de me souvenir
de l’homélie. En semaine, c’est plus difficile, car je ne peux pas aller tous les jours à la messe du soir.
ok ok j’vais t’appeler la nuit prochain rohhh si le lapin veut qu’on l’appelle plus souvent faut pas en faire un dessin ça peut se négocier…
(nannannna mais le teléphone y capte pas sous la terre dans le terrier du lapain ZUT de ZUT)
tu t’es jamais réveillé en pensant à qqn et en en parlant t’apercevoir que ce qqn pensait en même temps à toi…
ouai je sais je suis grave 😉
(et pi d’abord lui là haut il a pas le téléphone alors…) hihihi
En union de prière
« Plus près de Toi, mon Dieu, j’aimerais reposer. C’est toi qui m’a créé et Tu m’as fait pour Toi. Mon coeur est sans repos, tant qu’il ne demeure en Toi. »
Le Seigneur sait et aime tellement prendre soin de nous dans les moindres détails, que nous n’avons souvent pas idée de Sa délicatesse et de Ses attentions.
C’est vrai que ce n’est pas facile de s’abandonner, mais comment ne pas faire confiance à Celui qui s’est offert Lui-même pour me, te sauver…
« Ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, Il les aima jusqu’au bout… »
Merci Camille pour ce beau commentaire! « Venez chantons notre Dieu, Lui le Roi des Cieux, Il est venu pour sauver l’humanité et nous donner la vie. Exulte pour ton Roi, Jerusalem, danse de joie! »
Bonjour et merci pour les informations bonne continuation très bon blog