Le serpent est l’ennemi de Dieu, et donc, l’ennemi de la création qui vient de Dieu.
Il est moins présent que dans « nuit blanche à Bethléem », mais il ne passe pas inaperçu.
Au tout début, il est réveillé en même temps que l’ours : l’image est la même que dans Nuit blanche à Bethléem (pas le texte).
On sent déjà que ça va être difficile pour lui.
Il est toujours entouré du chiffre 6 qui représente l’imperfection. La perfection, c’est le chiffre 7,
donc 6, c’est la perfection à laquelle il manque quelque chose (ici, 6 étoiles autour de lui).
il épie,
il tente,
il trouve les arguments, allant toujours plus loin :
il étouffe tout ce qui peut parler de Jésus.
Il agit en solo (il est dans l’arbre et quand il y a du monde, il disparaît).
Il attend le moment favorable,
il feint d’aider,
et il attaque là où ça fait mal.
Il s’engouffre dans notre faille,
il nous promet des tas de choses à condition de laisser Jésus de côté
et il s’éclipse sur la pointe des anneaux pour nous laisser dans le doute,
doute qui remet toute notre vie, tous nos choix, en question !
Doute auquel il faudra répondre par un acte ou une décision courageuse pour revenir dans le chemin de vie.
À la fin de l’album, on nous rappelle la supériorité de Jésus sur le mal et les démons. Tous les démons,
et la fuite du serpent face à cette Parole qui est agissante
promesses, promesses…
Et moi, dans ma vie, comment est-ce que je peux percevoir toutes ces actions du serpent ?
Quelle sont mes failles où il attaque dur ?
Quels moyens est-ce que je prends pour lutter ?