1er samedi de carême

La vie, c’est quelque chose de sacré.

Mais alors, que penser du suicide ?

Après la réflexion de cette semaine, je prends plus conscience de certaines choses :

-Je suis animé(e) par une âme que je ne me suis pas fabriquée et qui vient de plus loin que moi.

-J’ai été voulu(e) par Dieu

-J’ai coûté cher

-J’appartiens autant à Dieu qu’ aux autres et qu’à moi-même.

On peut donc conclure que la vie, c’est quelque chose de sacré.

Quelque chose que je ne peux pas inventer. Quelque chose de miraculeux et dont je bénéficie. Je suis donc habité(e) par quelque chose d’unique, de sacré.

C’est vrai, quoi. On se pose des questions quand la mort frappe quelqu’un de proche et on ne se pose pas la question «Pourquoi je me suis réveillé vivant(e) ce matin », comme si on y avait droit, comme si c’était normal ?

Alors, le suicide là dedans ?

Le suicide est un refus de la vie. Quand j’ai des idées de suicide, c’est toujours dans un moment difficile. Il faut distinguer deux choses ;

-Le « kaïros » et le « chronos » (Ca y est, Coolus disjoncte et parle chinois).

En fait de chinois, c’est du grec.

Il y a l’explication ici, pour ceux qui veulent se coucher moins bête ce soir.

Petit exercice artistique, vous mettriez quoi dans la bulle?