Année A – Temps Ordinaire 8ème dimanche (rectificatif)

 

Pardonnez-moi, le dessin de lundi dernier ne sera pas dans la liturgie de dimanche. Ce verset est omis… Alors voici un « vrai ».
1ère Lecture : Isaïe 49,14-15
Psaume Psaume 61
2ème Lecture : 1 Corinthiens 4,1-5
Evangile : Matthieu 6,24-34
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Pour aller plus loin

Détails
-Il me semble que le dessin est assez parlant en lui-même.
-On remarque qu’il y a une multitude de synonymes employés pour le mot « fatigué ». Il se peut même qu’on en emploie au moins un chaque jour.
-Les lettre « Repos » et « Dieu seul » sont en bleu ; couleur ciel (Dieu) et couleur nuit (repos)
Questions
-Quand je suis dans cet état-là, est-ce que je me souviens du verset de ce psaume ? Si je ne le connaissais pas encore, je peux l’apprendre par cœur, il n’est pas difficile.
-Quel est la manière principale de me reposer ? Est-elle saine ? Efficace ?
Quand Jésus dit « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi, je vous procurerai le repos » (Mt 11,28), ai-je déjà expérimenté dans ma vie que ce verset est vrai ? Quand ?
Pour certains, le repos consiste à faire ce qu’on aime, mais si on n’a pas sous la main le nécessaire (une raquette de tennis, un piano, un copain, un arrosoir, un ordinateur), quelle attitude aurons-nous ?
Si on garde son repos en Dieu, c’est en tout lieu et à tout instant qu’on peut se reposer, parce qu’il est partout et toujours présent.

4 réflexions sur “Année A – Temps Ordinaire 8ème dimanche (rectificatif)”

  1. Eh bien, Béa, c’est vrai, il m’arrive de ressembler à ce pauvre lapin complétement K.O.
    Et là, je me sens un peu entre ciel et terre ! Ce repos en Dieu me fait penser à la Vie éternelle.

    C’est alors à ton Ciel Seigneur que je rêve !!!

    1. Oh, Marie-Ange, je ne sais bien sûr pas dans quelle mesure les choses son compliquées ou difficiles pour vous, mais ce que je sais c’est que j’ai toujours beaucoup de plaisir à vous lire et que moi pour votre vie éternelle je ne suis pas pressée du tout 🙂 Et comme je suis un peu égoïstes pour ne pas dire beaucoup même si j’admire ces grands saints qui soupirent après l’éternité en Dieu j’avoue que je considère encore qu’un tien vaut mieux que deux tu l’auras et que le présent c’est encore le bonheur ici bas ! On dit d’ailleurs que la vie éternelle y commence déjà …..une belle façon d’apprivoiser celle qui nous attend et d’apprendre à aimer Celui qui nous désire d’autant !!!
      Alors pour le rêve , j’aimerai vous lire avec des petits bonheurs ici-bas….et c’est toute ma prière pour vous maintenant !!! Pour vous espérer heureuse dans l’autre monde, j’espère bien avoir encore du temps !!!
      Prenez bien soin de vous….
      Béa qui aime bien voir souvent votre nom dans les commentaires qu’elle lit toujours avec avidité avec ce sentiment de lien subtile entre les membres de notre Grande Famille d’âmes….

  2. J’aime bien cette phrase ; « « Pour beaucoup, la Providence n’a pas de place car en voulant contrôler le moindre détail de leur vie ils en bloquent toutes les issues »…
    Cela a été compliqué pour moi dans ma foi, de laisser une place à cette Providence, alias Dieu incognito…
    D’accepter de ne pas tout prévoir, tout organiser, laisser une place à l’imprévu, à la rencontre, au cadeau du jour surprise, faire en quelque sorte une ouverture… sans passer dans « le tout subir » de la victime passive de la facilité….Entrer dans le repos de Dieu qui lui laisse la main….
    Cela veut dire que le regard doit rester ouvert au Bien, et pas à relire toutes les épreuves pour les accumuler dans un sentiment d’acharnement d’une force mauvaise dans ma vie….
    Ouvrir l’œil et le coeur pour accueillir Ses traces dans ma vie…. primordial dans les heures plus sombres que la vie n’épargne à personne;
    Alors le repos oui c’est une des perles pour illuminer le chemin, non comme une démission mais comme un ressourcement…
    C’est comme un équipement dans un jeu vidéo, un bonus, un pouvoir comme disent les jeunes en jeu vidéo virtuel, sauf que là c’est dans ma vie quotidienne…tout le temps !
    Dieu mon seul repos, le seul à ma disposition où que je sois, dans quel état je sois…même au coeur et surtout d’ailleurs au coeur du combat…
    Dieu en qui je peux tout déposer, que je peux charger comme un baudet de secours quand c’est trop lourd à porter… et même lui demander de partager avant la saturation exténuée, bien en amont….
    Dieu qui me repose de mes peines et de mes joies aussi…
    Qui peut faire de mes montagnes russes une pente douce et sereine…pour me permettre de durer, tenir…apaiser pour mieux aimer.
    Dieu non comme un joker ponctuel, une clé de secours, une potion magique dont je me souviens en panique dans l’urgence mais comme un filet constant…qui peut devenir un hamac reposant…ou un outil pour la pêche et la quête de nourriture…
    Comme une sécurité pour ma traversée en funambule…Dieu aussi comme mon balancier pour garder l’équilibre…et porter en confiance mon regard au loin en confiance….
    Deux chants trouvés dans ma quête de ce dimanche que j’ai aimé :
    « -J’ai tout remis entre tes mains ce qui m’inquiète, ce qui me gêne, ce qui m’angoisse et qui me peine et le souci du lendemain
    R/ « J’ai tout remis entre tes mains, J’ai tout remis entre tes mains
    -J’ai tout remis entre tes mains, le lourd souci traîné naguère, ce que je pleure ou que j’espère et le pourquoi de mon destin. R/
    -J’ai tout remis entre tes mains, la pauvreté ou la richesse, le bonheur et puis la tristesse, tout ce que jusqu’ici j’ai craint. R/
    – J’ai tout remis entre tes mains que ce soit la mort ou la vie, la santé ou la maladie, le commencement ou la fin.
    Car tout est bien entre tes mains, car TOUT est bien , entre Tes Mains

    Et le second se nomme TRACE DE TOI
    Juste un brin de nostalgie, juste un regard sur les instants de ma vie, Petit flash-back dans ma mémoire, y a tant de choses qui semblent dérisoires…
    R/ Il y a des traces de Toi, des traces de Toi, mon Dieu quand j’y pose les yeux, Tout s’efface autour, passent les jours, Restent les traces de Ton Amour-our !

    Juste une pause dans ma course pour retrouver la fraîcheur d’une source, Je me souviens de ses faveurs, quand tu me dévoilais des morceaux de Ton Cœur !
    R/Des traces de Toi, des traces de Toi, mon Dieu quand j’y pose les yeux, Tout s’efface autour, passent les jours, Restent les traces de Ton Amour-our !

    Passent les jours, les mois, les années, c’est tes pas dans mes pas depuis que je suis né, Passent les jours, pas une seconde sans que tu veilles sur mon âme vagabonde, Tu me tiens dans tes mains, comme un oiseau blessé, Tu retires le caillou qui me ferait tomber. Tu allumes le ciel, quand ma nuit est trop noire ! Et je garde tout ça gravé dans mon cœur Et ma mémoire !

    J’ouvre le livre de ma vie, y a des ratures corrigées de Ton Ecriture, des pages blanches où je devine, en filigrane Ton Cœur qui se dessine
    R/ Des traces de Toi, des traces de Toi, mon Dieu Quand j’y pose les yeux, tout s’efface autour, passent les jours, Restent les traces de Ton Amour
    Passent les jours, les mois, les années, c’est tes pas dans mes pas depuis que je suis né, Passent les jours, pas une seconde sans que tu veilles sur mon âme vagabonde, Tu me tiens dans tes mains, comme un oiseau blessé, Tu retires le caillou qui me ferait tomber. Tu allumes le ciel quand ma nuit est trop noire et je garde tout ça gravé dans mon cœur et ma mémoire ! …….
    avec la musique ces paroles me sont …un repos justement pour la semaine à venir et les soucis actuels…
    Pause…..
    Prière d’accueil, juste comme cette Lumière intérieure qui réchauffe et éclaire à laquelle on ouvre la porte….

    Ps Et Marie- Ange ?

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