Cette fois-ci, l’autruche essaie de combler le vide qui la sépare de Jésus en tendant son cou pour ne perdre aucune parole. L’image est sobre, pour qu’on puisse réfléchir au texte. Effectivement, Jésus n’a pas dû bénir le repas de la Pâque comme le faisaient les autres rabbis…