Double page 22-23 (animaux des précédents tomes de la trilogie)

Le rat.

On reconnaît le possédé que Jésus a guéri dans « Galilée, une affaire qui tourne », dans les pages 30-31

 

 

 

 

La brebis perdue.

Toujours dans l’album « Galilée, une affaire qui tourne », il était question d’une brebis rebelle que Jésus est allée rechercher. Elle avait une boucle d’oreille peace ans love, et on constate qu’elle l’a échangée pour une boucle d’oreille en forme de croix.

 

 

 

 

Le cheval.

Dans « Galilée, une affaire qui tourne », c’est l’un des 10 lépreux (P 16) que Jésus va guérir.

 

 

 

 

 

Le Rhinocéros et le blaireau

Ils font partie des 72 disciples que Jésus envoie deux par deux dans « Galilée, une affaire qui tourne ». Ils reviennent amochés, après avoir rencontré le possédé

 

 

 

 

 

La vache et l’ours (Margaret et Hans)

Ils sont les héros d’une des trois histoires principales de « Galilée, une affaire qui tourne »

 

 

 

 Les loups

Toujours dans « Galilée, une affaire qui tourne », ce sont eux qui veulent croquer la brebis. On le retrouve dans un arbre, suspendus à une branche par Jésus, avec leurs queues liées entre elles. Elles le sont toujours.

 

 

Les moutons et bergers (allemands)

Ce sont ces animaux qui venaient à l’étable dans « Nuit blanche à Bethléem ». Ils sont toujours indisciplinés et représentent les chrétiens qui se crêpent le chignon entre eux et se divisent sur des broutilles alors que Jésus est en train de mourir devant eux.

 

 

 

Les rois mages

Ils avaient fait la longue marche dans « Nuit blanche à Bethléem » pour adorer l’enfant qui venait de naître. Ils ont beaucoup vieilli et n’ont plus de couronne pour montrer que leur roi, c’est Jésus.

 

 

 

Le bouc.

 

Dans « Galilée, une affaire qui tourne »; le bouc est le fils de veuve qui est ressuscité par Jésus. Sur cette image, c’est le seul qui n’est pas triste. La raison est simple : il a déjà goûté à ce qu’il y aurait après la vie terrestres, il sait ce qui nous attend alors il se réjouit pour Jésus.

 

 

Le boeuf et l’âne.

On les voit dans « Nuit blanche à Bethléem » tout au long de l’histoire, et on voit le petit fils de l’âne de la crèche (cet âne avec une casquette) dans « Galilée, une affaire qui tourne » page 18.

Laisser un commentaire

Retour en haut