-Le lapin gris est soudain enveloppé par les ténèbres. Le voilà aveuglé.
-Le lapin cuisinier du fond a perdu sa crêpe (moi, je sais où elle est.) Il cherche au plafond, dans sa poêle et par terre.
On pourrait regarder « par terre » comme mon passé, « dans la poêle » comme mon présent et « au plafond » comme mon avenir. Si la crêpe représente le soleil de la Révélation (à la chandeleur, on fait des crêpes pour ça, parce que c’est la fête de la lumière), le cuisinier cherche Dieu partout sauf… dans le prochain.
Et le lapin gris, lui, est aveuglé par la Révélation. Maintenant qu’il « voit le soleil », il a perdu ses repères et il tâtonne.
Fialement, à première vue, on pensait que celui qui avait la crêpe sur la tête était dans les ténèbres… Pas si sûr…