Partout où il va, il fait peur.
Quelques fois, il profite de sa condition,
d’autres fois, il en souffre et se sent exclu.
Alors, c’est la vache qui fait l’intermédiaire.
Il est une proie facile pour le serpent qui veut le détourner de Dieu.
Le serpent va y arriver en lui donnant un i-phone (ici, c’est un obstacle, une « richesse » qui va le détourner de Dieu, de la mission).
À partir de ce moment-là, il sera plutôt « groumpf »
et rivé sur son i-phone.
La rencontre avec le bouc ressuscité par Jésus va lui faire un électrochoc
et il se rend compte peu à peu de la puissance de Jésus au point de le redouter.
Et voici sa seconde conversion, celle qui le fait entrer en lui-même et regarder Jésus comme une créature regarde son Créateur ; face à face.
Jésus lui redonne confiance en lui demandant de raconter sa mission
et là, il peut enfin regarder l’oeuvre de Dieu dans sa vie en faisant mémoire des événements, rencontres, paroles qui l’ont bousculé et fait devenir ce qu’il est.
Il a tout compris et il est prêt pour la suite.
À la dernière page, il est silencieux et de dos, signe d’humilité. Il ne prend plus toute la place mais il va la laisser à Jésus.