Après avoir repéré Pierre, Jean fonce sur lui en piqué et se redresse. On ne sait pas trop où il veut atterrir. Pierre ne le voit pas, il est occupé à manger du poisson. Il est sur le bout d’un ponton, comme pour signifier qu’il est en bout de course, dans une impasse. Autour de lui, il n’y a que de l’eau. Il arrête de réfléchir pour combler un des trois besoins fondamentaux : manger.
On voit donc une image avec deux actions opposées : d’un côté, un pierre affalé, où la partie principale de son corps qu’on aperçoit, c’est sa mâchoire, ses dents, et de l’autre côté, un Jean en plein mouvement, où tous ses membres travaillent (nuque, ailes, griffes), et la partie de son corps qui attire l’attention, c’est son oeil vif.
